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Fini les hausses qui nous font voir rouge !

Comment stopper durablement l’explosion des primes et freiner les coûts ?

Responsabiliser tous les acteurs

Le constat est là, les autorités et les acteurs de la santé dorment ! Une stabilisation durable des coûts passe obligatoirement par la responsabilisation de tous les acteurs concernés. Aujourd’hui, la santé à charge de l’assurance obligatoire des soins nous coûte plus de 38 milliards de francs par an, soit plus de 104 millions par jour ! Il faut que ça s’arrête !

Éliminer le gaspillage et les inefficacités

Notre système de santé est malade. En Suisse, les médicaments coûtent beaucoup plus cher qu’à l’étranger et de nombreuses interventions pourraient se faire en ambulatoire plutôt qu’à l’hôpital. Il est crucial de réformer notre système dès maintenant. Il existe un potentiel d’économies estimé à 6 milliards de francs par an, sans perte de qualité des soins. Notre santé est notre bien le plus précieux, la surthérapie et la surmédicalisation la mettent en péril. Protégeons-notre système de santé sans plus attendre.

S’attaquer à la racine du problème

Le Centre est le seul parti qui s’attaque à la racine du problème – tout le reste n’est que de la poudre aux yeux ! La gauche vise une étatisation de la santé et une économie planifiée et la droite ne se soucie guère des charges financières auxquelles les familles et la classe moyenne sont confrontées. Bien que les allègements de primes jouent un rôle crucial en matière de justice sociale, leur renforcement isolé ne suffit pas à résoudre le problème. Seul le frein aux coût encourage la responsabilité et la solidarité des acteurs de la santé.

Se baser sur le frein à l’endettement

Le frein aux coûts, calqué sur le frein à l’endettement, intervient si la croissance annuelle des coûts de santé excède celle des salaires de 20%. Entre 2010 et 2020, les dépenses de santé ont augmenté quatre fois plus vite que les salaires, atteignant plus de 38 milliards de francs dans l’assurance obligatoire des soins. Sans mesures immédiates, le système de santé deviendra tout simplement inabordable.

Prendre les salaires comme valeur de référence

La population paie les primes sur la base des salaires. L’évolution entre ces deux éléments constitue donc un fondement pertinent de départ. C’est pourquoi la maîtrise des coûts doit s’orienter sur l’évolution des salaires. L’article 55 de la loi sur l’assurance-maladie mentionne d’ailleurs l’évolution des salaires comme critère de mesure, en plus de l’évolution générale des prix.

Fixer une obligation constitutionelle

L’objectif de l’initiative est clair : si les coûts augmentent chaque année de plus de 20% par rapport aux salaires la Confédération en partenariat avec les cantons impose des mesures obligatoires pour réduire les coûts, applicables dès l’année suivante. L’initiative vise à ancrer ce mécanisme dans la Constitution.

Vrai ou faux ?

Un rationnement possible des prestations – Faux !

Notre initiative demande d’exploiter le potentiel existant de 6 à 8 milliards pour réduire les inefficacités et les gaspillages, sans perte de qualité des soins, ni rationnement. Notre initiative ne fixe pas non plus de plafond budgétaire, mais fixe un objectif aux acteurs de la santé qui est de prendre toutes les mesures pour que les coûts restent dans un rapport acceptable au regard de l’évolution des salaires.

Un mécanisme trop rigide – Faux !

Jusqu’à présent les autorités et les acteurs de la santé ont échoué à réduire les coûts de la santé ! Cette situation de blocage ne peut plus durer. Notre initiative fixe un objectif aux acteurs de la santé qui est de prendre toutes les mesures pour que les coûts restent dans un rapport acceptable au regard de l’évolution des salaires. Le caractère contraignant de l’initiative est toutefois indispensable pour assurer que les mesures efficaces de réduction des coûts soient mises en œuvre si les coûts de la santé explosent trop par rapport aux salaires.

Le contre-projet du Parlement est suffisant et aucune disposition constitutionnelle n’est nécessaire – Faux !

Le contre-projet demande uniquement aux acteurs de la santé qu’ils proposent des mesures de réduction des coûts, mais ils ne sont absolument pas contraints de les mettre en œuvre. Le caractère contraignant fait donc cruellement défaut, car il ne garantit pas que les mesures nécessaires de réduction sont effectivement mises en œuvre. Il n’y a aucune raison que des acteurs de la santé se responsabilisent soudainement, alors qu’ils ne l’ont jamais fait.

Initiative “Frein aux coûts 

Nous devons agir sans plus attendre ! Le frein aux coûts est le seul moyen de baisser les primes et d’imposer une conscience des coûts dans notre système de santé.

Si les coûts de la santé augmentent chaque année de 20% de plus que les salaires, la Confédération doit prendre des mesures pour réduire les coûts en collaboration avec les cantons et les acteurs de la santé.

Êtes-vous prêt/e à prendre part au changement ?